Cléromancie

«La cléromancie est un mode de divination expérimental qui emploie comme agent révélateur un mouvement génèré par l'homme et dirigé par le hasard, ce dernier étant reconnu comme l'expression immédiate de la volonté divine».



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Art divinatoire

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«La cléromancie (klêromanteia, mantikê dia klêrôn, sortes, sortilegium) est un mode de divination expérimental qui emploie comme agent révélateur un mouvement génèré par l'homme et dirigé par le hasard, ce dernier étant reconnu comme l'expression immédiate de la volonté divine». Telle est la définition que donne le dictionnaire de Daremberg et Saglio[1]. La cléromancie est donc une divination. En ce qui concerne le terme de «divination», il apparaît à Rome avec Cicéron, il s'agit donc d'une notion récente. Selon lui c'est une croyance ancienne remontant aux temps héroïques. La divination est nommée par les Grecs mantikê signifiant mantique, c'est-à-dire une faculté de connaître à l'avance l'avenir. D'où le nom mantis donné à toute personne qui prédit l'avenir. Ce nom provient de la racine mainomai qui est utilisée quand une personne est prise de délire. On peut aussi considérer que cette personne est mise hors de soi par la divinité. D'autre part le signe divinatoire pouvait être nommé sêmeion car son interprétation exigeait de la part du devin des connaissances et des techniques. Nous verrons par conséquent particulièrement, dans une première partie la divination cléromantique, puis dans une seconde partie le travail portera sur sa diffusion et les questions qu'elle peut génèrer.


La place de la cléromancie dans la divination

La cléromancie comme divination inductive

Il existe une mantique intuitive et une mantique inductive. La première essaie de percevoir la volonté divine par le biais de certains phénomènes qui sont traduit par des devins. A contrario, la mantique inductive perçoit de manière directe le savoir et la volonté des puissances supérieures, car elle est fondée sur l'interprétation raisonnée des signes extérieurs traduisant la pensée divine. Bouché Leclercq[2] nous apprend qu'en Grèce, il existe une méthode inspirée et une autre qui fonctionne par les signes extérieurs. Cependant, l'interprétation des présages et des prodiges eut moins d'importance que la divination oraculaire dans le monde hellénistique, même si à Delphes la cléromancie était utilisée parallèlement à l'inspiration prophétique. En outre, les phénomènes divinatoires en Grèce, étaient intimement liés à la vie quotidienne puisque leurs interprétations se trouvaient livrées à l'initiative individuelle. Cependant seuls les devins possédaient des connaissances supérieures car ils avaient, soit suivi un enseignement, ou bien acquis ces connaissances à travers des expériences, ainsi la discipline étrusque de l'examen des entrailles appelé haruspices. Ailleurs, comme en Mésopotamie, la divination apparaît comme une véritable science.

La divination par «les sorts», une pratique répandue dans l'Antiquité[3]

Cette méthode équivaut à un mode de divination expérimentale qui emploie comme agent révélateur un mouvement génèré par l'homme et dirigé par le hasard. Le résultat obtenu est estimé être l'expression immédiate de la volonté divine. Qui plus est , dans la divination par les sorts, la parole est rédigée ou le hasard l'écrit avec des lettres mises à sa disposition. Dans la mythologie, le sort était mis sous la dépendance d'Hermès, (dieu de la parole), qui prit le caractère de dieu du hasard ou de la fatalité. Les sorts sont spécifiques étant donné que des signes sont obtenus après une demande (impetrita). Ainsi, les sorts sont différents des omina qui sont des signes qui s'offrent d'eux même et qui touchent de près aux prodiges.

Cette méthode simple et rapide est inattaquable car elle laisse à la Providence le libre choix entre un certain nombre de signes convenus. A titre d'exemple, quand les héros achéens, génèrés par Hector, tirent au sort le nom de celui d'entre eux qui doit croiser le fer avec le troyen, ils croient s'en remettre à la volonté de Zeus. Par conséquent, la cléromancie consiste à utiliser le tirage au sort dans un but divinatoire. D'autre part, les sorts sont attachés à des objets palpables qui sont consultés suivant un rite défini et avec une cérémonie dans un lieu donné.

En réalité l'ensemble des sorts ne servent pas à la divination. En effet le sort peut autant servir à d'autres fins surtout le partage ou le choix de représentant. Ainsi, certaines démocraties faisaient désigner par le sort, reconnu comme la volonté divine, leurs principaux magistrats. Ainsi elles évitaient les objections élevées contre la compétence électorale et elles tenaient en bride les convoitises ambitieuses.

À Rome, on constate la présence du tirage des tablettes prophétiques nommées sortes qui avait lieu à Préneste dans le temple de la déesse Fortuna. Plus tard, sous la demande des haruspices, ces sorts furent déposés dans un coffret en olivier où, sur l'inspiration de la Fortune, ils étaient mélangées et tirés au sort par la main d'un enfant. Cependant dès le IIe siècle av. J. -C. , cet oracle n'intéressait plus que les gens du peuple.

Les origines

La cléromancie avait commencé en Grèce, où elle était positionnée sous le patronage de la Tyché et de Fortuna à Rome (déesse de la chance), ces déesses qui n'en forment qu'une représentent le Hasard divinisé. Chaque cité avait sa Tyché qu'on représentait couronnée de tours, à la façon des divinités poliades. Fortuna s'identifiait avec la Tyché grecque. On la représente avec la corne d'abondance, ou un gouvernail car c'est elle qui «pilote» la vie des hommes. On attribue l'introduction de son culte à Rome à Servius Tullius. Progressivement, sous l'influence hellénique, elle s'assimila à d'autres divinités comme Isis.

Malgré tout la science divinatoire est réservée à Zeus. D'autre part certains noms d'objets de divination renvoyaient à des légendes. Tel les thries qui sont des galets ou des cailloux permettant de la divination ou aux prédictions. Selon la légende, les Thries étaient trois sœurs vierges. Apollon raconta à Hermès[4] qu'elles demeuraient au fond du vallon du Parnasse et qu'elles lui ont enseigné la science divinatoire. Ces femmes se nourrissaient de miel et une fois rassasiées elles entraient dans un état second et elles consentaient à dire la vérité.

En outre, la méthode cléromantique a donnée naissance aux expressions les d'une façon plus générale employées dans l'art divinatoire. L'importance de la méthode est attestée par les expressions restées dans les langues grecques et latines. Ainsi le verbe chraô a eu le sens d'entailler des baguettes ou des osselets avant de signifier «prophétiser». Qui plus est Cicéron[5] a dit que la Pythie «tirait» ses réponses comme on tire actuellement les cartes car elle utilisait une méthode cléromantique avant de se référer à des tablettes contenant des réponses déjà préparées. Ainsi par exemple, à Boura, en Achaïe, où Héraclès donnait ses consultations par astragalomancie et où un tableau contenait les réponses correspondants aux points réalisés par le lancé.

Déroulement d'une scène cléromantique

Dans un premier temps, les instruments de la cléromancie ne sont pas pourvus d'une vertu magique attachée à leur forme ou à leur substance. Car en réalité, ils représentent une convention formulée à l'avance. Ces objets pouvaient être des cailloux de formes ou de couleurs diverses, des fèves noires et blanches, des baguettes marquées d'entailles, des flèches, des osselets (astragalomanteia) ou des dés. Il faut différencier la cléromancie et l'astragalomancie qui est reconnue comme la méthode primaire des divinations par les dés. En effet l'astragalomancie utilisait des osselets où chaque face correspondait à un signe. L'astragalomancie renvoie aujourd'hui aux astragales qui correspondent aux os du tarse.

Une personne qui voulait consulter un oracle devait se rendre dans un lieu précis où elle devait prier. Par la suite, pour répondre à la question du consultant, ces divers objets pouvaient être maniés suivant des rites variés, jetés sur le sol consacré, agités dans une urne, posés sur une coupe débordante, lancés dans une source ou un bassin hydromantique cela dans l'objectif d'obtenir des dieux (spécifiquement Hermès) une réponse.

En Grèce

Les Grecs pensaient que le mouvement génèré par l'homme et dirigé par le hasard (klairos) était révélateur et exprimait concrètement la volonté divine. Ceux-ci ont en particulier pratiqué la rhapsodomancie ou divination par phrases détachées, rencontrées au hasard des ouvrages inspirés. Elle consiste à combiner les avertissements rédigés avec le jeu des dés ou des osselets. Il suffisait de dresser un tableau où des réponses disposés à l'avance seraient choisies, pour chaque cas, par le sort. Ce qui illustre cela sont les inscriptions d'Attalie en Pamphylie car elles reproduisent ce modèle. C'est une table cléromantique mutilée. Elle contient dix prophéties, chacune des trois hexamètres[6], et elle portent en tête le nom d'un dieu. Elles ont un chiffre composé en cinq chiffres partiels. Cette espèce d'oracle était consulté avec cinq astragales a quatre faces, qui étaient jetés simultanément. La combinaison des points amenés indiquait la sentence prophétique applicable à un cas donné. La table devait contenir tout autant de sentences que de coups envisageables.

Chez les Grecs la prédiction du futur était lié aux dieux Hermès, Athéna ou encore au héros Héraclès. Il y avait par conséquent différents oracles. Il y a des oracles divins d'Héraclès. (lien Héraclès). C'est l'oracle principal à Hyettos, en Béotie. Il y a également l'oracle de Boura en Archaïe. Ce dernier à un tout autre caractère : la cléromancie sous sa forme la plus simple était utilisée dans la grotte Bouraïque, où se trouvait une statue d'Héraclès; cette représentation était positionnée devant une table, certainement divisés en compartiments, avec des os longs appelés «astragales». Le consultant, après avoir fait sa prière, prenait quatre dés et les jetait sur la table. La signification des coups était inscrite sur un tableau où on pouvait lire soi-même la réponse du dieu.

Le seul oracle de Hermès est celui de Pharse. Il fonctionnait par une méthode dérivée de la cléromancie, avec un simple tirage de «sorts». C'était par conséquent une méthode cléromantique assez sommaire. Cela répond mal à l'idée qu'on se faisait d'Hermès quand on voulait voir en lui le dieu de la parole et l'artisan de la persuasion. Aussi les oracles positionnés sous l'invocation du dieu fonctionnaient en appliquant le hasard à la parole humaine. On pouvait appeler cela le clédonisme.

Les sorts italiques contrairement aux sorts grecs, n'avait pas à lutter contre les concurrences d'autres institutions autochtones. En effet seuls les oracles de la péninsule pouvait prédire l'avenir.

Sur cette coupe de Douris, on peut voir des guerriers recourir en présence d'Athéna Skiras, à une sorte de consultation cléromantique.

La divination à Rome

À Rome la religion d'État faisait une distinction principale entre les sacra publica «cultes publics», et les sacra privata «cultes privés». Ces derniers étaient pratiqué de manière diffuse, mais ils étaient tout de même contrôlé par l'appareil de la religion d'État. Si les pontifes[7] ont la charge du culte (sacra), les augures ont celle des auspices. Augure vient du mot augere qui veut dire augmenter ou exprimer «une majoration de force». Ces augures étudiaient les signes laissé par les auspices, ceux-ci consistant fréquemment à observer les oiseaux.

Dans le panthéon romain le dieu Mercure était le patron des joueurs de dés. On l'utilisait pour prévoir le futur. Mais les Romains utilisèrent en particulier la déesse romaine Fortuna. Sa vénération se faisait au bord du Tibre. Il y eu deux grands cultes de la fortune en Italie. Celui de Préneste (dans le Latium intérieur) et celui de Antium (au sud de Rome. Ainsi qu'une fête qui se déroulait le 24 juin de chaque année.

Fortuna, la déesse des prémonitions

Fortuna était par conséquent la gardienne des «sorts». Selon Cicéron[8], on ne pouvait y toucher, que «sur son invitation», les consultants devaient en premier lieu obtenir l'assentiment de la déesse. Il y avait une idée d'épreuves préliminaires pour obtenir une réponse. Cela se retrouve dans les rites des oracles grecs. Ces épreuves pouvaient consister en un sacrifice. Les sorts employés dans les oracles italiques paraissent avoir consisté en lettres détachées susceptibles de former des mots. La déesse faisait des consultations publiques une fois dans l'année, et cela au mois d'avril. Seuls des consultations exceptionnelles pouvaient être accueillis en dehors de cette période.

La fontaine Aponine, ou de Géryon, apparut aussi comme un oracle cléromantique. Cette fontaine localisée près de Patavium fut fondée par le Troyen Antênor. Selon la légende Hercule y aurait séjourné. Pour cette raison les habitants de la cité, les Padouans, pensaient que l'eau de la fontaine avait des vertus médicinales. Comme l'eau était reconnue comme un instrument, ou un véhicule de la divination, ils installèrent un oracle. La cléromancie y était alors pratiquée sous la coupole de JupiterAponus. Cet oracle eut une importante notoriété au temps d'Auguste. Selon Suétone il y avait des «jets de dés en or dans la fontaine». Cela résultait par conséquent de consultations hydromantiques, variété de la divination par les sorts.

La problématique de son existence

La place de la divination et par conséquent de la cléromancie, en particulier à Rome, est fréquemment remise en question. Que cela soit actuellement ou durant les siècles passés. Dans un premier temps le terme de divinatio est apparu avec Cicéron, ce qui est assez récent. Ce qui montre aussi l'ambiguïté de la cléromancie est le fait que dés le Ie siècle av. J. -C. il y eu un débat entre les membres du collège des augures publics, sur la finalité de leur art. Surtout entre App. Claudius Pulcher et C. Claudius Marcellus, deux augures. Était-ce un simple décryptage des signes envoyés par le dieu Jupiter, ou une lecture de l'avenir?

Aujourd'hui aussi des spécialistes, ne croient toujours pas à l'existence en Italie d'une pratique cléromantique dans l'appareil de l'État. Mais alors à quoi correspondaient les tablettes de bois utilisé par les prêtres de l'oracle de Préneste? Certes il y eu un certain essor de la cléromancie durant le Ie siècle av. J. -C. (règne d'Auguste), mais était-ce dû à une volonté de voir l'avenir ou à des superstitions?

Des définitions contradictoires

Si l'existence de la cléromancie est contrastée, cela est aussi dû au fait qu'il n'y a pas de définition définitive de cette divination. Cicéron interprétait la cléromancie en soulignant le rapport entre ce type de divination et les jeux de hasard, il donnait par conséquent un jugement négatif des sortes. Au contraire Thomas d'Aquin [9], (1225-1274), soulignait le rapport entre la cléromancie et le tirage au sort divisoria (le fait de tirer au sort pour attribuer quelque chose à quelqu'un). Il insistait sur la dimension du dividium iudicium, en donnant un jugement positif sur les sortes.

Enfin une représentation diachronique a été introduite par l'anthropologue écossais Edward B. Tylor[10]. La diachronie correspond aux caractères des phénomènes linguistiques reconnus du point de vue de leur évolution dans le temps. Cette notion est opposée au terme synchronie, c'est-à-dire un état de langue à un moment donné, indépendamment de son évolution. Edward B. Tylor[11] pense par conséquent, tout comme Cicéron, qu'il y a un rapport entre la cléromancie et les jeux de hasards. Mais lui propose une interprétation évolutionniste du jeu de hasard et de la sors disoria, les voyant comme survivances désacralisée de la cléromancie, comme recours aux jugement des dieux.

Ces enfants en train de jouer aux dés dans la rue prouvent l'existence des jeux de dés dans la société.


Tableau récapitulatif pour nous permettre de voir les différentes définitions de la cléromancie
selon Thomas d'Aquin, Cicéron et Edward B. Tylor.
Rapport Tirage au sort Bien et fonctions Cléromancie Jeux de hasard
Thomas d'Aquin Synchronique Synchronique Synchronique .
Cicéron Synchronique . Synchronique Synchronique
Edward B. Tylor Diachronique Diachronique Diachronique Diachronique


Pour conclure la cléromancie est une divination inductive qui rencontra son développement et son apogée en Grèce, mais aussi dans la péninsule italique. Cependant cette divination par les sorts ne se maintient pas plus que les autres. En effet, la divination par les actes instinctifs des animaux ou des hommes, celle des entrailles, ou encore celle du feu et de l'eau finirent par tomber dans l'oubli. Donc, l'existence de la cléromancie est fréquemment remise en question; quoique les jeux de dés et de hasard utilisés actuellement laisse à supposer le contraire.

Bibliographie

Ouvrages généraux

  • (fr) Yves Lehmann, Dominique Briquel, Gérard Freyburge, Mireille Madas-Lebel, Vinciane Pirenne-Delforge, Charles Marie Ternes, Religions de l'Antiquité, Presse Universitaire de France, 1999, Paris.
  • (fr) Jacqueline Champeaux, La religion romaine, Livre de Poche, 1998, Paris.
  • (fr) Jean Bayet, Histoire politique et psychologique de la religion romaine, Payot, Paris, 1969.

Ouvrages spécifiques

  • (fr) Bouché-Leclercq, Histoire de la divination dans l'antiquité, éd. culture et civilisation Tome I à IV, 1963, Bruxelles.
  • (fr) Raymond Bloch, La divination dans l'antiquité, Presse Universitaire de France, 1984, Paris.
  • (it) Federica Cordana, Cristiano Grottanelli, Sorteggio Publico cleptomanie dall'Antichità all età Modrena, Università degli studi di Milano dipartimento di Scienze dell'Antichità, 26-27 janvier 2001, Milan.
  • (fr) Remo Guidieri, J. P Vernant, L. Vandermeersh, J. Gernet, J. Bottéro, R. Crahay, L. Brisson, J. Carlier, D. Grodzunski, A. Retel-Laurentin, Divination et rationalité, Édition du Seuil, 1974, Paris.

Liens externes

Notes et références

  1. Article Divinatio publié en 1877
  2. Histoire de la divination dans l'Antiquité
  3. Tome 4 de L'histoire de la divination dans l'antiquité, Bouché-Leclercq
  4. Bouché-Leclercq, L'histoire de la divination dans l'antiquité
  5. Divinatio
  6. hex (six) et métrons (mètres, mesures). Ce qui veut dire vers de six pieds
  7. le pontife est un prêtre du principal collège sacerdotal de la Rome antique.
  8. De Divination
  9. L'astrologie, les sorts, les opérations cachées de la nature
  10. Primitive culture : Researches into the development of Mythololgy, Philosophy, Religion, Language, Art and Custom
  11. sir Edward Burnett Tylor (1832-1917), est un anthropologue britannique. Tylor occupa le premier poste de professeur d'anthropologie à l'université d'Oxford de 1896 à 1909. Ses études sur le thème de l'animisme et sa définition de la culture furent les premières contributions importantes au domaine de l'anthropologie.

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