Horoscope

Dans son sens antique le mot horoscope est synonyme du mot «Ascendant» au sens astrologique du terme. L'Ascendant, qui est le degré du zodiaque qui se lève à l'horizon oriental à un moment donné, n'est qu'un élément de la carte du ciel.



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Définitions :

  • L'horoscope forme la totalité des déductions et interprétations tirées d'une carte du ciel concernant l'avenir de quelqu'un. Horoscope vient du grec hôroskopos : qui considère le moment (de l'apparition). (voir rubrique "Astrologie" du site) (source : claudealexis)
  • Du grec "on regarde l'heure" C'est la carte du ciel dressée pour un lieu et une heure bien précise, à savoir les données... (source : astrologie-astrologie)
Astrologie

Astrologie occidentale

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Astrologie égyptienne

Astrologie maya

Horoscope (fig. 1)

Dans son sens antique le mot horoscope est synonyme du mot «Ascendant» au sens astrologique du terme. L'Ascendant, qui est le degré du zodiaque qui se lève à l'horizon oriental à un moment donné, n'est qu'un élément de la carte du ciel. Horoscope vient d'un mot grec qui veut dire «qui examine l'heure» sous-entendu d'une naissance ou d'une façon plus générale d'un événement donné. Par suite d'un glissement sémantique, horoscope finit par désigner dans le langage courant l'entièreté de la carte du ciel et ensuite y compris même son interprétation. Dresser un horoscope, cela veut dire établir une carte du ciel et l'interpréter. Dans la presse populaire l'horoscope sert à désigner aussi les prédictions de la rubrique «astrologie».

Le thème astrologique

La pratique respectant les traditions de l'astrologie repose sur l'interprétation, particulièrement controversée d'un point de vue scientifique, de la carte du ciel calculée pour un événement quelconque, le plus fréquemment pour l'instant de l'apparition d'une personne ou pour un moment marquant de son existence. Cette carte du ciel n'est finalement qu'un schéma représentant la disposition des astres dans les signes du zodiaque mais aussi leurs relations, le tout se superposant à la totalité des maisons astrologiques. Cette représentation du ciel (thema cœli en latin, d'où sa désignation comme «thème» astrologique) est centrée sur la terre et non sur le soleil, ce qui fait dire que l'astrologie conventionnelle est géocentrique.

Jadis dresser une carte du ciel était une opération assez complexe qui nécessitait des outils spécialisés et un certain savoir-faire. Aujourd'hui, un ordinateur et un bon logiciel permettent de calculer et dessiner une carte du ciel instantanément. Avant l'informatique, cela nécessitait le plus souvent une table d'éphémérides, donnant les longitudes des astres et quelquefois une table des maisons adaptée au dispositif de domification utilisé pour déterminer le début et la fin des maisons. On utilisait aussi souvent des tables de logarithme appropriées du moins jusqu'au moment où les calculatrices se sont répandues.

Les données requises

Un thème astrologique est toujours dressé pour un lieu et un moment donnés. Il faut par conséquent connaître le lieu et l'instant exact de l'évènement dont on cherche à dresser la carte du ciel. La carte sera d'autant plus précise que les données seront précises. Pour un thème natal, par exemple, il faut parfaitement connaître le moment de l'apparition le plus exactement envisageable. Dans la pratique, les astrologues doivent fréquemment se contenter d'une heure approximative. Les calculs nécessitent aussi la connaissance de la longitude et la latitude géographiques de l'événement. Sa précision est moins déterminante que le moment de l'événement, mais une précision de l'ordre du degré est souhaitable. La précision du moment de l'événement est en particulier importante pour le calcul de la domification et par conséquent de l'ascendant car en moyenne il progresse d'un degré l'ensemble des quatre minutes. Si on effectue le calcul avec des tables, il faudra déterminer les temps universel TU et local correspondant. Pour obtenir le temps universel il faut connaître le régime horaire en vigueur au moment de l'événement. Ce qu'on peut obtenir à partir d'ouvrages spécialisés[1]. Les opérations sont particulièrement simplifiées si on utilise des moyens informatiques performants. Il suffit dans la majorité des cas d'apporter le nom du lieu connu le plus proche, la date et l'heure civile. Si on effectue le calcul avec des tables, il faudra déterminer le temps universel en consultant une table des régimes horaires en vigueur pour le lieu et la date reconnue. Ce temps universel permettra d'interpoler les positions des astres donnés par les éphémérides pour chaque jour à minuit. On peut déterminer le temps local à partir du temps universel et de la longitude géographique du lieu, si on tient compte que la terre tourne de 1° l'ensemble des quatre minutes d'ouest en est . Si le lieu se trouve à l'est de Greenwich le temps local vaudra le temps universel augmenté de tout autant de fois quatre minutes que de degrés de longitude. On retranchera cette valeur si le lieu est à l'ouest de Greenwich. Ce temps local sera utilisé pour interpoler et corriger le temps sidéral lu dans les éphémérides. Il faut apporter une correction de 10 secondes par heure lors du calcul pour tenir compte que le jour sidéral vaut 23 heures 56 minutes au lieu de 24 heures pour le jour solaire moyen. Il reste une petite correction à faire pour tenir compte de la longitude, car le temps sidéral est donné pour Greenwich. Les tables de maisons donnent la position des cuspides des maisons dans les signes selon le temps sidéral ainsi obtenu et de la latitude géographique du lieu.

Il faut noter que occasionnellemen, il conviendra de convertir la date en son correspondant dans le calendrier grégorien, surtout pour les dates antérieures à la réforme du calendrier julien de 1582 dont le moment de mise en application a varié selon les contrées.

Pour des thèmes anciens, l'heure peut être donnée directement en heure locale (généralement en Temps Solaire Moyen, mais quelquefois en Temps Solaire Vrai, la différence étant celle de l'équation du temps). Dans ce cas, il faut calculer l'heure GMT ou TU à partir de l'écart entre le méridien reconnu et le méridien de Greenwich.

Positions des astres

symboles astraux (fig. 3)

Pour monter la carte du ciel, il importe de déterminer la position des astres assez à un lieu de la Terre. Cependant pour dessiner la carte du ciel, seules les longitudes célestes sont utilisées. Comme les trajectoires des astres sont plus ou moins inclinées sur le plan de l'écliptique, cela revient à ne considérer que les projections des positions des astres sur ce plan de l'écliptique. En apparence, le Soleil semble tourner autour de la Terre dans ce plan de l'écliptique. Les astrologues ont divisé cette trajectoire solaire en douze secteurs égaux, qui sont les signes conventionnels du zodiaque. Le début de ce zodiaque est le zéro degré du Bélier ou point vernal, à savoir l'endroit où le Soleil se lève à l'équinoxe de printemps. Durant l'année, le Soleil parcourt chacun des douze signes de ce zodiaque. Le printemps débute lorsque le Soleil entre dans le Bélier. L'entrée du Soleil dans le quatrième signe, le Cancer, correspond au début de l'été et au solstice d'été. Son entrée dans le septième signe, la Balance, marque le début de l'automne et l'équinoxe d'automne, et finalement son entrée dans le dixième signe, le Capricorne, correspond au début de l'hiver et au solstice d'hiver. On peut ainsi appeler ce zodiaque le zodiaque des saisons. Pour le distinguer du zodiaque stellaire, les astrologues l'appelle quelquefois «Zodiaque tropical» ou «Zodiaque intellectuel». Les astrologues repèrent les astres sur la carte du ciel assez au début des signes zodiacaux plutôt que assez au début du zodiaque. Ils diront par exemple, que le Soleil est à 15° des Gémeaux et non pas que le Soleil se trouve à 75° du zodiaque. Les astrologues modernes placent non seulement les astres connus des anciens, à savoir Lune, Vénus, Soleil, Mars, Jupiter et Saturne, mais également les planètes découvertes ultérieurement : Uranus (1781), Neptune (1846), et Pluton (1930). Certains astrologues modernes y placent aussi certains astéroïdes, comme Cérès, Pallas, Junon, Vesta, et Chiron[2]À côté des longitudes, certains astrologues utilisent aussi les déclinaisons des astres pour calculer certains aspects basés sur ces déclinaisons[3]. Aujourd'hui la grosse majorité des astrologues utilisent des moyens informatiques ou des calculettes spécialisées pour déterminer les divers éléments de la carte du ciel, mais antérieurement les positions des luminaires : Soleil et Lune, et des planètes étaient obtenues au moyen de table d'éphémérides[4]. Le principe de calcul au moyen d'éphémérides est le suivant : les tables d'éphémérides donnent la position des astres chaque jour à minuit Temps Universel (quelquefois à midi). Connaissant le temps universel de l'événement, une simple interpolation par règle de trois sert à déterminer la position de l'astre avec la précision requise. À noter que les corrections sont le plus souvent superflues pour les astres lents comme Jupiter, Saturne, et au-delà. Par contre la correction sur la longitude sur la Lune est particulièrement importante car elle progresse de plus de 12 degrés par jour dans le zodiaque. On pourrait peut-être déterminer les positions des astres par calcul, mais cela relève de la mécanique céleste. Le principe est grosso modo de calculer les positions héliocentriques de la Terre et de l'astre selon la date julienne et ensuite d'effectuer un changement de coordonnées pour se ramener au dispositif géocentrique[5], [6].

Autres éléments astronomiques

On remarque ici au descendant la prise en compte du nœud lunaire. (fig. 4)
Les nœuds lunaires

Les astres ne sont pas forcément les seuls éléments pris en compte dans les thèmes astrologiques. Certains astrologues placent aussi sur la carte du ciel les deux nœuds lunaires. Comme l'orbite de la Lune autour de la Terre est inclinée comparé à l'écliptique, cette orbite coupe ce dernier en deux points opposés appelés nœuds. Le nœud ascendant ou nœud nord (lorsque la Lune passe de l'hémisphère sud vers l'hémisphère nord) et le nœud descendant ou nœud sud (lorsque la Lune passe de l'hémisphère Nord vers l'hémisphère sud). Les anciens astrologues, dont Ptolémée, les utilisaient d'une manière bien plus restrictive que les astrologues modernes, qui fréquemment les considèrent comme des astres, tandis que ce ne sont que des points fictifs. Le nœud nord était aussi nommé la tête du dragon (Caput Draconis) et le nœud sud, la queue du dragon (Cauda Draconis) - Les astrologues hindous les nomment respectivement Rahu et Ketu. Les éclipses ont lieu lorsque les lunaisons (Nouvelle Lune et Pleine Lune) ont lieu à l'endroit des nœuds[7], [8]. L'axe des nœuds tourne de manière rétrograde dans le zodiaque en légèrement plus de 18 ans.

La lune noire

À la suite de Dom Neroman (1937), certains astrologues prennent aussi en considération une «Lune Noire», un point fictif, qui n'est autre que la position du second foyer de l'orbite lunaire projeté sur l'écliptique ; d'autres tentent aussi de trouver des significations à des éléments astronomiques analogues (Soleil noir, nœuds planétaires, etc. ) [8]

Les étoiles fixes

On tient le plus souvent compte dans l'interprétation des étoiles fixes les plus importantes[9], [10] (les Pléiades, α Tauri (Aldebaran), β Orionis (Rigel), α Orionis (Bételgeuse), α Canis Majoris (Sirius), α Leonis (Régulus), α Virginis (Spica), α Bootis (Arcturus), α Scorpii (Antarès), α Lyræ (Véga), α Piscis Austrini (Fomalhaut), etc. ) Les étoiles sont assez fixes (à la précession des équinoxes près), mais la prise en compte de la hauteur au dessus de l'écliptique deviendrait rapidement critique (Rigel est à 30° sous l'écliptique, et Véga à 60° au-dessus... )

Part de fortune et autres parts

L'astrologie arabe du Moyen Âge faisait un très grand usage des «parts», qui ont été importées dans l'usage occidental à la Renaissance. Ces parts dites arabes remontent en fait à un usage gréco-égyptien, elles sont déjà citées par Ptolémée et Paul d'Alexandrie. Selon le Dictionnaire astrologique de Gouchon, il existerait une soixantaine de parts, qui hormis la part de fortune, sont quasi complètement négligées par les astrologues actuels.. ) [8], [11]. L'unique part qui ait toujours une certaine notoriété est la «part de fortune». On obtient sa position en prenant la distance entre le Soleil et la Lune, en partant du Soleil comme point de départ en opérant dans le sens correspondant à l'ordre des signes. Cette distance est ensuite reportée à partir de l'ascendant. Les autres parts sont obtenues par des calculs analogues.

Les mi-points

Le «mi-point» est le point fictif de l'écliptique localisé à identique distance de deux astres. Il était déjà utilisé au XIIIe siècle par l'astrologue italien Guido Bonatti pour rectifier des thèmes. Tombés en désuétude, ils ont été remis en usage par des astrologues anglais et allemands.

L'introduction de ces points arithmétiques semble beaucoup due à la recherche par les astrologues d'une «clef manquante» servant à simplifier l'interprétation du thème, remplaçant une synthèse trop complexe par la fuite en avant dans une analyse encore plus détaillée. Mais aussi le souligne Patrice Guinard, «la multiplication des points sensibles et des points d'énergie imaginaires marque l'échec de l'interprétation moderne dans sa tentative de coller à l'événementiel» [11].

La Domification

Thème astrologique fondé sur les douze maisons astrologiques, les signes associés et leurs planètes maîtresses. Manuscript islandais du XVIIIe siècle. (fig. 5)

La domification (du latin domus = maison) consiste à découper la carte du ciel en 12 différentes demeures ou maisons à partir de l'ascendant. Une première grande division est obtenue par l'axe ascendant-descendant. Le degré du zodiaque qui se lève à l'est sur l'horizon et celui opposé qui se couche à l'ouest déterminent l'axe ascendant-descendant. C'est une donnée commune à la majorité de l'ensemble des dispositifs de domification utilisés. L'axe milieu du ciel-fond du ciel est aussi une donnée commune à plusieurs dispositifs. Cet axe est obtenu par le méridien qui coupe le milieu des arcs diurne et nocturne. Il est ensuite projeté sur l'écliptique. L'intersection des deux axes ascendant-descendant et milieu du ciel-fond du ciel donne quatre quadrants comprenant chacun trois maisons. Le découpage des quadrants en maisons est spécifique à chaque dispositif. Dans le dispositif dit de Placide, le découpage est obtenu par la trisection identique des arcs diurnes et nocturnes et en projetant les points obtenus sur l'écliptique. Du fait de la projection, les maisons obtenues ont des étendues inégales. Les maisons opposées ont cependant des tailles semblables. La domification de Placide a un défaut rédhibitoire car on ne peut domifier pour les latitudes circumpolaires. Il y à peu près une vingtaine de dispositif de domification[12]. Voici entre autres les dispositifs de Placide (XVIIe siècle), de Regiomontanus (XVe siècle), de Campanus (XIIIe siècle), de Dr. Walter A. Koch (1960), et probablement l'un des plus anciens connus celui dit «Modus Æqualis» dont les maisons sont toutes identiques à 30 degrés partant de l'ascendant et qui a été répandu par Julius Firmicus Maternus au IVe siècle. Les maisons sont le plus souvent numérotées de I à XII à partir de l'ascendant. Les cuspides ou pointes des maisons sont le plus souvent les frontières entre les maisons, sauf dans certains dispositifs où les cuspides sont les milieux des maisons. La maison I couvre alors aussi de part et d'autre de l'ascendant. La domification de Placide est parmi les plus communes. On peut l'établir facilement au moyen de tables calculées à cet effet. C'est une table qui donne la position des cuspides des maisons dans le zodiaque selon la latitude et du temps sidéral[13].

Données astronomiques

La Terre tourne sur elle-même en 24 heures autour de l'axe Nord-Sud des pôles et ce d'ouest en est . Elle tourne une fois sur elle-même en 24 heures sidérales. Pour un observateur terrestre, c'est la totalité du ciel avec tout ce qu'il contient qui semble tourner autour de la Terre, mais dans le sens inverse du mouvent réel de rotation de celle-ci. L'observateur voit ainsi un astre se lever à l'est , culminer à son méridien, et se coucher à l'ouest . L'astre décrit de la sorte un arc sur la sphère céleste qu'on appelle son arc diurne. L'arc parcouru par un astre entre son coucher et son lever est nommé l'arc nocturne. La longueur d'un arc peut être exprimée en degrés ou en temps sidéral. La Terre tournant sur elle-même en 24 heures sidérales, 360° équivalant à 24 heures sidérales, on a la correspondance : 1 degré correspond à 4 minutes de temps sidéral. Généralement les arcs diurnes et nocturnes des astres qui se lèvent ne sont pas égaux ; cette longueur dépend de la déclinaison de l'astre. Lorsque la déclinaison est nulle l'arc diurne est identique à l'arc nocturne.

  • La domification, dite de Placide, consiste en l'équipartition de l'ensemble des arcs diurnes et nocturnes. Chaque semi-arc est divisé en trois parties identiques. La domification est impossible pour les colatitudes inférieures à l'obliquité de l'écliptique (+/-23°), par conséquent dans les régions circumpolaires, car les astres sont toujours visibles et ne se lèvent ni ne se couchent. Les courbes obtenues par l'équipartition de l'ensemble des arcs diurnes et nocturnes forment la domification. Hormis l'horizon et le méridien qui sont des grands cercles, ce sont ces courbes gauches iso-horaires dont l'intersection avec l'écliptique donne les cuspides des maisons zodiacales. Ces courbes ou domitudes sont dans ce cas aussi nommées les courbes placidiennes. Il est facile de connaître l'ascension droite du milieu du ciel, et par conséquent du milieu de l'arc diurne puisque c'est le temps sidéral du lieu pour laquelle est dressée la carte. Avec des moyens informatiques le calcul, qui nécessite une connaissance de la trigonométrie sphérique, se fait par itération, mais il existe des méthodes mathématiques approchées donnant une précision suffisante. Comme les calculs se font en coordonnées équatoriales (ascension droite et déclinaison), et que c'est la longitude céleste qui est utile pour positionner les cuspides sur la carte du ciel, un changement de coordonnées sera indispensable. Il s'ensuit que la cuspide de la maison I ou ascendant (AS) est l'intersection orientale de l'horizon avec l'écliptique, l'intersection occidentale étant la cuspide de la maison VII ou descendant (DS). D'autre part le méridien du lieu coupe l'écliptique en deux points opposés qui sont les cuspides des maisons IV et X, respectivement fond du ciel (FC) et milieu du ciel (MC). Avec ce dispositif les maisons sont le plus souvent d'étendues inégales, sauf celles qui sont opposées. Il est rare que les astrologues fassent ce genre de calcul car les tables, dites des maisons, donnent directement la position des cuspides dans le zodiaque selon la latitude géographique et du temps sidéral, d'autre part l'usage d'un logiciel et d'un ordinateur ne nécessitent aucun calcul.
  • La domification dite «Modus Æqualis» attribuée à l'astrologue Julius Firmicus Maternus est plus simple à calculer. Une fois qu'on a obtenu la position de l'ascendant, l'ensemble des maisons sont identiques, et le DC-MC est par conséquent perpendiculaire à l'axe ascendant-descendant. Habituellement dans ce dispositif les cuspides sont le plus souvent les milieux des maisons.

Avec les variantes, il y a une vingtaine de méthodes de domification, dont celle de Placide fort répandue malgré ses défauts.

Approche historique

La domification en douze secteurs, par ressemblance aux douze signes du zodiaque, n'a pas été utilisée d'emblée comme allant de soi par les premiers astrologues. Après la division naturelle en quatre secteurs délimités par le méridien et l'horizon, et formant les quatre angles, chaque secteur a en premier lieu été divisé en deux pour donner un schéma à huit cases (octopos). On voit naitre le dispositif à douze cases dans L'Astronomicon de Manilius (10 ap. J. -C. ), timidement suivi par Claude Ptolémée, mais c'est en particulier Julius Firmicus Maternus dans son Traité des Mathématiques célestes (IVe siècle) qui en fait une description aboutie qui fut reprise toujours par les astrologues ultérieurs. Cependant cela ne concerne que la représentation en douze régions car l'étendue des maisons, elle , a évolué suivant les méthodes de domification. Quant aux significations principales des maisons elles n'ont guère changé depuis. On ne peut nier qu'il y ait une parenté entre les significations attribuées aux maisons et celles accordées aux signes du Zodiaque, comme si les premières en avaient été extraites. Dans la majorité des dispositifs de domification, les cuspides forment le début et la fin des maisons. Néanmoins, il semblerait qu'il s'agisse d'une dérive. En effet, le mot cuspide veut dire pointe ou sommet en pointe et non pas limite, frontière, etc. Les cuspides auraient été chez Maternus le centre des maisons, l'endroit où la signification est la plus prégnante [14], [15]. Les quatre angles ont donné leur nom aux maisons où ils se trouvent, qui se nomment pour cette raison des maisons angulaires. Ce sont les maisons I, IV, VII et X. Les maisons II, V, VIII, XI sont dites maisons succédentes, alors que les maisons III, VI, IX, XII sont dites cadentes.

La Position des Maisons dans le Thème

La position des pointes ou cuspides des maisons sur la carte du ciel dépend de la méthode de domification choisie. Nombre de méthodes, dont celles dites de Placide, de Campanus, de Regiomontanus ont au moins l'Ascendant et le Milieu du Ciel en commun. Par contre, les cuspides intermédiaires sont situées différemment. Pour la majorité des domifications, la cuspide marque le début de la maison, mais il y a des exceptions, et dans ce cas la cuspide marque le centre de la maison, comme dans la variante du Modus Æqualis utilisée par l'astrologue Maurice Nouvel [14], qui prétend même en se référant à Julius Firmicus Maternus que pour les anciens astrologues le mot cuspide (du latin cuspis, idis qui veut dire pointe et qui par conséquent aurait le sens de sommet, culmination) désignait le centre de la maison, le lieu où l'influence d'un astre était la plus forte et la signification de la maison la plus nette. Pour la majorité des méthodes de domification, quoique les arcs diurne et nocturne soient respectivement sectionnés en parties identiques, la «projection» sur l'écliptique fait en sorte que l'étendue des maisons devient inégales. [16] Le milieu du Ciel lui même une fois projeté n'est plus perpendiculaire à l'axe Ascendant-Descendant, mais est plus ou moins incliné vers l'Ascendant ou vers le Descendant. Une conséquence est qu'il arrive fréquemment qu'une maison fasse plus de 30 degrés et qu'elle contienne de la sorte l'entièreté d'un signe du zodiaque. Ce signe est alors dit intercepté et cela aurait une signification spécifique lors de l'interprétation du moins pour certains astrologues. [17] Le Modus Æqualis fait exception, puisque cette domification n'est pas basée sur une équipartion des arcs diurne et nocturne. Dans ce cas le Milieu du Ciel est perpendiculaire à l'axe Ascendant-Descendant, et les cuspides des maisons s'obitennent par division de chaque quadrant en trois parties identiques. [18]

Pour des raisons mal élucidées, les astrologues numérotent les douze maisons en sens inverse de celui du mouvement apparent des astres. Ainsi, le Soleil à son lever entre en maison XII, puis passe par la XI, entre en X puis culmine sur la cuspide de X. Il traverse successivement les maisons IX, VIII, VII et se couche au Descendant ou cuspide de VII.

Les Aspects astrologiques

Un modèle parmi d'autres de carte du ciel (fig. 6)

L'aspect, est un écart angulaire en longitude mesuré sur l'écliptique existant entre deux corps célestes. Classiquement, les anciens utilisaient cinq aspects auxquels ils attribuaient des symboles spécifiques :

  • La conjonction, lorsque les astres sont à un même degré du zodiaque.
  • L'opposition, où l'angle vaut 180°.
  • Le trine ou trigone, qui est le tiers d'un cercle ou 120°.
  • Le quadrille ou carré, ou encore quadrature, où l'angle vaut 90°.
  • Le sextile, avec un angle de 60°.

À ces aspects dit majeurs, les astrologues ajoutent actuellement des aspects dit mineurs le semi-sextile (30°), le semi-carré, (45°), le sesqui-carré (135°) et le quinconce (150°). Certains astrologues utilisent aussi les aspects dit képlériens, résultant de la division du cercle par cinq : le quintile (72°), le bi-quintile (144°), le semi-quintile ou décil (36°) et le sesqui-quintile ou tridécile (108°). Les aspects mineurs auraient été imaginés par Képler, sinon utilisés par lui[16]. Il y a toujours d'autres aspects, mais ils sont presque tombés en désuétude.

  • Les antisces et les contre-antisces. Il y a un aspect d'antisce lorsque deux astres sont symétriques comparé à l'axe des solstices (0° Cancer-Capricorne) et de contre-antisce lorsque la symétrie a lieu assez à l'axe des équinoxes (° Bélier-Balance).
  • Les parallèles et contre-parallèles sont des aspects non plus entre longitudes mais entre déclinaisons. On parle de parallèle de déclinaison lorsque les astres ont des déclinaisons semblables ou proches et de contre-parallèles lorsque les déclinaisons sont identiques ou proches mais de signes opposés. L'orbe préconisée est généralement de 1° ou 2° au plus. L'effet des parallèles et des antisces serait équivalent à une conjontion, et les contre-parallèles et les contre-antisces seraient plutôt analogue à l'opposition[16].
  • La combustion est un cas spécifique de la conjonction. Il y combustion quand un astre est à moins de 8°30'du Soleil. Par contre on parle de cazimi lorsque un astre est au cœur du Soleil à moins de 16 minutes près[8].

Les aspects ne sont que particulièrement rarement exacts ; cependant les astrologues admettent une certaine tolérance pour prendre l'aspect en compte. Cette tolérance est nommée l'orbe. Cet orbe dépend de la grandeur de l'aspect et des astres en présence. Il n'y a pas d'unanimité chez les astrologues pour la valeur à attribuer aux orbes. Comme ordre de grandeur, citons à peu près 10° pour la conjonction, de 8 à 12 pour le trigone et l'opposition, de 6 à 8 pour la quadrature, 4 à 6 pour le sextile. Quant aux aspects mineurs, les orbes sont de 1 à 3°. Néanmoins les orbes sont quelquefois augmentées lorsque un ou deux luminaires font partie de l'aspect. Lorsque un aspect est exact, il est dit partil. L'aspect serait d'autant plus puissant qu'il est exact ou partil et son influence diminuerait progressivement lorsque l'orbe augmente.

  • Application et séparation
Pour évaluer les aspects il faudrait aussi tenir compte de ce qu'on nomme l'«application» et la «séparation». Il est dit qu'une planète applique à une autre lorsque une planète plus rapide commence à former un aspect à une plus lente. L'aspect est ensuite exact ou partil, puis les planètes se séparent lorsque l'aspect se défait. Dans un thème les aspects qui appliquent seraient plus puissants à distance identique que ceux qui se séparent. Les orbes pour l'application pourraient aussi être un peu augmentée[8].
  • Aspects gauches et aspects droits
Les aspects gauches (ou senestres) sont ceux qui se forment dans le sens des signes du Zodiaque (sens anti-horaire), alors que les aspects droits (ou dextres) se forment dans le sens opposé à celui des signes (sens horaire). Les aspects gauches auraient une influence plus puissante[8].
  • Durée des aspects
Certains astrologues prétendent que l'influence de l'aspect doit être évaluée dynamiquement. L'aspect serait d'autant plus efficient qu'il aura duré plus longtemps. Pour ces astrologues, l'influence de l'aspect serait maximale légèrement après son point exact, et les aspects constitués par une planète rétrograde seraient renforcés.
  • L'occultation
Pour avoir une occultation (ou conjonction vraie) ou une opposition vraie, il faut non seulement que les longitudes zodiacales soient semblables, mais que les déclinaisons le soient aussi. Comme cas spécifique : Les nouvelles lunes et les pleines lunes sont respectivement des conjonctions et des oppositions soli-lunaires, mais les éclipses qui sont des occultations sont cependant moins habituelles. Pour cela, il faut que l'aspect soit sur l'axe des noœuds lunaires c'est à dire que la lunaison se produise dans le plan de l'écliptique[8].
  • Aspects spécifiques
Lorsqu'elle s sont prises en compte dans l'interprétation, ne sont considèrées le plus souvent que les étoiles fixes principales comme par exemple Antarès, Aldébaran, Algol, etc. Leur influence dépendrait en grande partie de leurs aspects (conjonction et parallèle en particulier) avec un astre, mais elles n'auraient pas d'influence par elle-mêmes[8].
De nombreux astrologues tiennent aussi compte des aspects que font les astres avec certains points de la carte du ciel, surtout les pointes des maisons angulaires (cuspides des maisons I, IV, VII, X), la part de fortune, la lune noire, etc.

Les types de cartes du ciel

Exemple de Thème (fig. 7)
Exemple de graphique privilégiant la domification (fig. 8)

Il existe de nombreux modèles de cartes du ciel. Les anciens astrologues, qui accordaient plus d'importance à la domification, plaçaient les signes du zodiaque et les symboles et degrés des astres à l'intérieur d'un carré en contenant un plus petit, la région entre les deux carrés formant douze maisons triangulaires. [19] (cf. figure 5)

Actuellement, la représentation la plus courante en astrologie occidentale semble être de tracer deux cercles concentriques gradués entre lesquels sont représentés les signes du zodiaque auxquels se superposent la domification et les différents symboles et leurs positions en degrés. Les aspects sont le plus souvent tracés dans le cercle intérieur. Comme c'est la domification qui est tracée sur le zodiaque, la différence d'étendue des maisons est bien apparente (Cf. figure 6). De nombreux astrologues, suite à Paul Choisnard qui a préconisé cette façon de faire en 1902, orientent la figure de façon que l'ascendant soit toujours à gauche et le milieu du ciel en haut. Cette dernière représentation favorise la lecture et la comparaison des thèmes, mais aussi le dépouillement statistique. [19]

Dans certains modèles de carte ce sont les maisons qui sont tracées identiques (c'est une variante circulaire de la représentation en carré) ou en taille réelle ; par conséquent les signes sont simplement mentionnés sur les cuspides (Cf. fig. 8).

Les Techniques Prédictives

Les astrologues utilisent plusieurs méthodes pour tenter de prédire les événements, les principales sont les transits, les directions primaires, les directions secondaires, les directions symboliques et la technique des révolutions solaires.

Les Transits[8]

Par transit on entend le passage réel d'un astre sur un élément d'un thème astrologique à un moment donné. Par exemple on peut dire qu'au mois de juillet le Soleil «transite» le signe du Cancer, mais également qu'à une date déterminée Jupiter transite Saturne, l'Ascendant ou le Milieu du Ciel. Cependant le transit d'un astre peut aussi être reconnu par l'aspect qu'il forme à un élément de la carte du ciel. Par exemple Mars en transit peut former un carré à Uranus radical.

L'étude des transits permettraient de prédire certains événements importants, mais selon Henri-J. Gouchon l'effet des transits semble se soumettre à celui des directions, car les faits saillants surviendraient lorsqu'il y a des concordances entre les aspects de «directions» et les aspects par transit.

Seules les transits des planètes lentes auraient d'autre part un effet notable, surtout Jupiter, Saturne, Uranus, etc. Les transits des lunaisons seraient par contre importants, en particulier en combinaison avec d'autres transits sur des points valorisés de la carte du ciel. Gouchon précise que l'effet des transits est quelquefois retardé de quelques jours lorsqu'il s se combinent avec des lunaisons. Pour l'étude des transits il prend en compte un orbe de 2 degrés avant et après l'aspect exact.

La révolution solaire

Cette technique consiste à dresser un thème astral pour l'instant précis où le Soleil revient par transit sur sa position radicale, par conséquent sur sa position natale dans le cas d'une personne. Si on utilise des tables d'éphémérides, la date et l'heure sont facilement déterminées par une simple règle de trois. Dans le cas d'un personne le thème devrait être dressé pour l'endroit où se trouve cette dernière au moment exact de cet anniversaire solaire, car le lieu a une incidence directe sur la domification. L'interprétation se fait alors en comparant le thème de révolution solaire au thème radical. Isolément la révolution solaire n'aurait aucune signification spécifique. La méthode de la révolution solaire permettrait de faire des prévisions pour la période allant d'un anniversaire à l'autre. [8] [20]

Les directions primaires

La technique des directions primaires est l'unique qui fasse partie de la Tradition astrologique. Il en est question au livre troisième de la Tétrabible de Ptolémée [21]. Son principe de base est que, lors du mouvement diurne, le déplacement d'un astre de 1° en ascension droite correspond à un an. Diriger un astre A1 sur un astre A2 qui le suit dans l'ordre des signes du zodiaque, c'est calculer la portion d'arc diurne parcouru par A2 pour atteindre le point iso-horaire A'1 de A1 sur l'arc diurne de A2. L'arc de direction est compté dans le sens de l'ordre des signes du zodiaque. Une fois qu'on a déterminé les deux semi-arcs diurnes de A1 et A2, et les distances méridiennes des points A1 et A'1, une soustraction suffit pour obtenir l'arc de direction (ou une addition si les points sont de part et d'autre du méridien). Le point fixe est nommé le significateur et le point, qu'on dirige vers ce point fixe, est appelé le prometteur. De telles directions sont dites directes, par contre lorsque on compte les arcs dans le sens opposé à celui des signes du zodiaque, par conséquent dans le sens horaire, on parle de directions converses ; le significateur est alors dirigé sur le prometteur. [19]

Les Progressions

Les progressions sont aussi nommées «directions secondaires» ou «profections». Il y plusieurs variantes dont les progressions symboliques. Cette dermière méthode consiste à faire progresser toujours l'ensemble des éléments du thème radical dans le sens des signes du zodiaque d'un degré par an. Pour chaque âge de la vie, les aspects de la carte progressée assez au thème radical sont alors examinés et interprétés. C'est une méthode simple qui a fréquemment la faveur des astrologues débutants car elle ne nécessite aucun calcul. [8] Une autre méthode consiste à ajouter à la date du thème radical un nombre de jours identique à l'âge de la personne et de dresser un thème pour la même heure. Ce dernier, dit thème progressé, est alors interprété en le comparant au thème natal[22]

L'Horoscope relationnel : La comparaison de thèmes

Pour mettre en rapport les caractères de deux personnes, l'astrologue compare les cartes natales de ces personnes. Parmi les cas principaux :

  • Les Synastries sont censées étudier les relations entre les thèmes de naissance de deux personnes pour déterminer leurs affinités de caractère.
  • Le thème composite porterait plutôt sur l'étude de la relation en soi.

La Synastrie

Techniquement, la synastrie consiste à supperposer deux cartes du ciel pour en étudier les rapports.
La Synastrie prétend décrire ce qu'une personne éprouverait pour une autre et vice versa, elle décrirait les affinités et les aversions entre deux personnes en termes de leur effet l'une sur l'autre. Lors d'une analyse de la synastrie d'une relation, on pourrait dire «Ta Vénus est sur mon Mars. Tu stimules mon Mars et tu obtiens une réaction martienne de ma part alors que je stimule ta Vénus et provoque une réaction vénusienne en toi. C'est pourquoi nous éprouverions certains sentiments l'un pour l'autre»[23].

Le thème composite

Le principe est de dresser un seul thème à partir des données de deux thèmes. Les éléments du nouveau thème sont le plus souvent obtenus en prenant le mi-point des éléments des thèmes individuels. Le thème, dit composite, est censé représenter la relation elle-même comme telle. Le thème composite serait analogue à un «champ énergétique» qui affecterait les deux personnes et montrerait certains aspects de chacune d'elles tout en leur imposant sa propre dynamique. L'étude du thème composite ne porterait pas sur les sympathies et antipathies éprouvées individuellement, mais sur l'«énergie» qu'elles généreraient entre elles.

Notes et références

  1. Gabriel, Traité de l'heure dans le monde, Édition Guy Trédaniel, Paris, 1991
  2. Jean Billon, L'Univers des astéroïdes, St-Michel Éditions, Aubenas 1989
  3. Max Heindel, Astrologie scientifique simplifiée, Association Rosicrucienne, Aubenas, 1978
  4. par exemple :Die Deutsche Ephemeride Band I - 1850-1889, Otto-Willem-Barth Verlag, 1957, 1974 ou Éphémérides 2000-2050 (Midnight) Mondial Edition, Éditions Aureas, Paris 1997
  5. Jean Meeus, Calculs astronomiques à l'usage des amateurs, Société Astronomique de France, Paris, 1986
  6. G. Dumoulin & J. -P. Parisot, Astronomie pratique et informatique, Éditions Masson, Paris 1987
  7. André Barbault, Les nœuds en astrologie individuelle et mondiale, [1]
  8. abcdefghijk Henri-J. Gouchon, Dictionnaire astrologique, Éditions Dervy, Paris 1992, isbn : 2-85076-526-0
  9. Vivian E. Robson, Les étoiles fixes et les constellations en astrologie, (1923) - Éditions Pardès, Puiseaux 1991, isbn : 2-86714-089-7
  10. Henri-J. Gouchon, Dictionnaire astrologique, Éditions Dervy, Paris 1992, isbn : 2-85076-526-0
  11. ab Voir aussi : article de Patrice Guinard
  12. Max Duval, La domification et les transits, Éditions Respectant les traditions, Paris 1987
  13. Table of Houses, Latitude, 1 to 66 degrees, The Rosicrucian Fellowship, Oceanside, California, 1949
  14. ab Maurice Nouvel, La vraie domification en astrologie, Éditions Pardès, Puiseaux 1991
  15. Yves Christiæn, Les Maisons identiques en astrologie - retour à la tradition, Éditions Dervy-Livres, Paris, 1984, isbn : 2-85076-176-1
  16. abc André Boudineau, Bases scientifiques de l'astrologie (pour le calcul et l'érection du thème) - Éditions Respectant les traditions, Paris 1976, p. 36
  17. Guy Dupuis, Astrologie pas à pas, Approche de l'interprétation, St Michel Éditions, Aubenas 1989
  18. Max Duval, La domification et les transits, Éditions Respectant les traditions, Paris 1987
  19. abc Paul Choisnard, Le Langage astral, Éditions Respectant les traditions, Paris 1963, p. 82 à 84
  20. Alexandre Volguine, La Technique des révolutions solaires, Dervy-Livres, Paris 1976, isbn : 2-850076-017-X
  21. Ptolémée, Tetrabiblos, Préfacé par André Barbault, Éditions Vernal / Philippe Lebaud, 1986, isbn : 2-86594-024-1
  22. Max Heindel & Augusta Foss Heindel, Le Message des Astres (1939), Association Rosicrucienne, Aubenas 1977
  23. Le Composite - Textes de Liz Greene - Comprendre l'astrologie - Astrodienst

Liens externes

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